Après la fondation, construisons les Murs et le reste de la maison


Que le Dieu de Grâce et de Miséricorde nous accorde encore Sa bénédiction et nous accorde encore des révélations qui nous permettent d’avancer et de nous préparer à Sa rencontre.
Nous savons que si nous ne construisons pas notre maison sur un bon fondement, elle ne tiendra pas au jour de la grande secousse. Elle ne peut pas tenir. Ce solide fondement sur lequel nous devons construire, c’est Dieu Lui-même.

Jésus nous a expliqué la recette, selon Matthieu 22 : 37 -38
Jésus lui répondit : Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. C’est le premier et le plus grand commandement
Il la complète par Jean 4 : 34 Jésus leur dit : Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m’a envoyé, et d’accomplir son œuvre. Respecter le plus grand de tous les commandements n’est pas seulement louer Dieu ou adorer Dieu! C’est en plus faire Sa volonté. Louer et adorer avec la bouche sans faire Sa volonté, c’est un manteau d’hypocrisie. C’est le manteau des pharisiens.
Matthieu 33 : 37 – 38 avec Jean 4 : 34, c’est le socle, le fondement. Maintenant, comment construire les murs ? Comment construire des murs à la façon de Dieu et non à la façon humaine ? Les hommes construisent les murs et le reste de la maison à coup de théologie et de doctrine, mais Dieu comment fait-il ? Comment nous demande-t-il de procéder ? Dieu nous demande de procéder comme Jésus-Christ a procédé. Comme Jésus l’a mis en pratique.
Voyons le secret et allons dans Matthieu 22 : 39 – 40 Et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes. Simple, efficace, imparable. Une vérité qui libère. Jésus nous dit que ces deux commandements là accomplissent toute la loi des prophètes. T O U T E la loi des prophètes. C’est pourquoi il n’est plus nécessaire de faire des sacrifices d’animaux, des ablutions d’eau ou de pratiquer la circoncision, ni d’amener les dîmes au Temple. Cela, ce sont des ordonnances rendues caduques par le sacrifice de Jésus. La Bible dit que Jésus n’est pas venu pour abolir la loi, mais pour l’accomplir. La Bible peut-elle se contredire ? Certes non. Alors, à quelle loi Jésus faisait-il allusion ? A la loi Royale, à la loi de l’Amour. L’Amour pour Dieu premièrement et l’Amour du prochain secondement.
Le voyez-vous ? Le voyez-vous ? Toute la vie de Jésus témoigne de ces deux choses. La loi Royale est d’ailleurs nommée par Jacques 2 : 7 Si vous accomplissez la loi royale, selon l’écriture : Tu aimeras ton prochain comme toi-même, vous faites bien. Mais si…. Jacques n’a pas inventé une nouvelle loi, il met en valeur la substance qui était contenue dans la loi de l’Ancien Testament. Nombreux sont les versets qui parlent de manière pratique de cette loi Royale : tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain, subviens aux besoins de la veuve et de l’orphelin, prête sans rien attendre en retour, n’use pas de fraude envers ton frère et ainsi de suite. Jésus est venu pour accomplir cette loi-là et il nous demande de la mettre en pratique. Un croyant qui aime son prochain va-t-il coucher avec la femme de son voisin ? Celui qui aime son prochain va-t-il le voler ? Va-t-il le critiquer, médire de lui ? Va-t-il fermer son portemonnaie lorsque son frère est dans le besoin financier ? Va-t-il prêter avec un taux d’intérêt ? Rien de tout cela. Un merveilleux exemple de la manifestation de cette loi royale se trouve en Jean 8 : 3, lorsque la femme adultère trouve grâce. Le pardon est une des essences même de cette loi royale.
C’est en mettant en pratique la loi Royale que Dieu va à nouveau se manifester en nous. Comme il l’a fait avec Jésus. La Bible ne dit-elle pas que nous ferions des œuvres plus grandes que celles de Jésus ? Oui, elle le dit. Mais attention, prenons garde au manteau des pharisiens qui donnent pour être vus. Qui respectent les ordonnances pour satisfaire leur chair mais qui méprisent la loi morale en haïssant leur prochain, en fermant leurs cœurs aux besoins financiers de leurs frères mais qui donnent volontiers deux cents euros pour contribuer à l’achat du nouvel écran géant de leur église. Jésus déteste les hypocrites. Dieu les vomit de Sa bouche. La juste condamnation de l’hypocrite, c’est l’enfer. C’est tout. Le religieux n’est pas celui qui le montre, mais celui qui accomplit l’œuvre du Seigneur en aimant son prochain comme lui-même. Nous définirons ce que veut dire « aimer son prochain ». Car on peut aimer en paroles. Dans certaines versions il est dit « pratiquer la charité ». C’est mieux car il y a la notion d’action. Entrons en profondeur dans ces choses et que chacun se pose les bonnes questions et examine ses motifs. Est-il sur le chemin de la loi Royale ou chemine-t-il encore avec le manteau des pharisiens ? Comment concrètement met-il en pratique l’amour du prochain ? Comment manifeste-t-il de manière concrète son amour pour Dieu ? Reçoit-il l’approbation de Dieu ou des hommes ? Ce sont de très bonnes questions. Que notre Dieu nous aide à accepter ce qu’Il dit que nous sommes et que nous puissions crier à lui dans la repentance afin qu’il revienne vers nous.
Revenons à la base et construisons une maison solide :
Toutes nos religions, toutes nos théologies, toutes nos doctrines nous ont éloignés de Dieu et nous ont rapprochés des hommes. C’est pourquoi le monde dit chrétien est si faible, le peuple de Dieu a si peu de force. Nous avons tellement discuté, étudié, philosophé, posé des théologies et des doctrines que c’est le contraire qui devrait prévaloir. Mais ces temps-ci, chacun ne peut que constater l’impuissance de l’homme face aux défis auxquels il doit faire face. Ce n’est pas une critique ou un jugement, c’est juste un constat : les ténèbres dominent sur la terre alors qu’il n’y a jamais eu autant d’églises, de dénominations chrétiennes sur terre. Même le monde païen perçoit que la fin de la route est proche et l’angoisse qui règne parmi les nations en est un signe plus que révélateur. Satan opère au grand jour, en toute impunité. Les chrétiens se terrent, se cachent ou s’auto-félicitent entre eux lors de grands rassemblements. Mais au-delà de ces effets de manche, où est donc passé le sel de la terre ? Mais où est donc passée la lumière du monde qui est sensée briller en chacun de nous ? Où ? Pourquoi cela ? Pourquoi ?
Si nous nous sommes éloignés de Dieu, alors il s’éloigne de nous et ce sont nos œuvres qui prévalent, des œuvres mortes et mortelles. C’est un principe spirituel simple mais bien réel. De même, et c’est la bonne nouvelle, si nous revenons à Dieu, il revient vers nous. C’est une véritable bonne nouvelle. Il y a une porte de sortie. Et cette porte de sortie, c’est de détruire et reconstruire. Détruire les œuvres et traditions religieuses, les commandements d’homme et construire sur une base solide, la seule base solide : Dieu. Jésus est venu faire cela en son temps : détruire les œuvres et traditions religieuses pour montrer le chemin et construire sur Dieu. Lecteur, ne voyez-vous pas que notre situation aujourd’hui est la même qu’au temps de Jésus ? Notre système religieux n’est-il pas le même que celui des pharisiens ? Un extérieur magnifique et un intérieur pourri. Ils avaient échoué, tout comme nous, nous avons échoué. C’est dur, mais c’est vrai!
Alors que faire ? Revenir à la base. Écoutons ce que Jésus a dit dans Matthieu 22 : 35 -40 et l’un d’eux, docteur de la loi, lui fit cette question, pour l’éprouver: Maître, quel est le plus grand commandement de la loi ? Jésus lui répondit : Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. C’est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes. Tout est ici. Mais pour ce billet, concentrons-nous sur la première partie de la recette : tu aimeras ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta pensée. C’est ici la fondation solide, c’est ici le secret. C’est ici le départ. Votre maison ne pourra subsister sur aucun autre fondement. Aucun autre.
Question simple pour chacun : quel est le fondement sur lequel ai-je bâti ? Sur Dieu ou sur ma religion, mon assemblée, mon pasteur ou encore sur moi-même, mon intelligence, ma sagesse ? Quel que soit le fondement, il y a un fruit. Chaque fondement porte un fruit. Quel est notre fruit ? Le fruit de l’Esprit se trouve-t-il en abondance ? Les guérisons, miracles et autres signes qui doivent accompagner le croyant nous accompagnent-ils ? Sommes-nous sur le chemin du perfectionnement par l’amour ? Ou Sommes-nous encore dans conduits par notre chair ? Sommes-nous bien propres à l’extérieur en respectant les rites et traditions : aller régulièrement à l’église, payer les dîmes, chanter à la chorale, participer à la distribution des tracts et ainsi de suite alors que nous sommes pleins de jalousies, de médisances, de manque de pardon, de manque d’amour, de divisions, d’ivrogneries, de cupidité et toutes ces choses ? Les pharisiens étaient dans cette configuration car ils avaient préféré la gloire des hommes à la gloire de Dieu. Tout ce qu’ils faisaient avaient pour but ultime de satisfaire leur chair. Mais nous, où en sommes-nous ?
Jésus est venu pour détruire ces œuvres-là et ils nous a déjà donné une partie de la solution avec Matthieu 22 : 37. Jésus était ce nouvel Adam qui avait mis en pratique ce commandement-là. Il était le premier né de la nouvelle création et nous, nous en sommes les suivants. Jésus a donné des enseignements clairs, on ne peut pas plus clairs. Observons maintenant la deuxième partie de la recette qui nous permet de bâtir sur le fondement solide. Lisons et écoutons les paroles de Jésus qu’il adresse à ses disciples. Jean 4:34 Jésus leur dit : Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m’a envoyé, et d’accomplir son œuvre. Simple, efficace et véridique. Si la nourriture de Jésus était de faire la volonté de celui qui l’avait envoyé, quelle est notre nourriture ? Quelle est notre nourriture ? De faire la volonté de celui qui nous a envoyé. Comprenez-vous ? Notre nourriture c’est de faire la volonté de Dieu. Pas la volonté des hommes. Non. Pas notre propre volonté. Non, LA VOLONTÉ DE DIEU. C’est là le fondement solide. Toute autre nourriture sert à nourrir notre chair, même si l’apparence en est bonne. En faisant la volonté de Dieu, nous pouvons accomplir Son œuvre. En faisant la volonté du comité de l’église, quelle œuvre faisons-nous ? En suivant la théologie et les doctrines des hommes, quelle œuvre faisons-nous ? Ce sont des paroles véritables que Jésus nous adresse car nous somme ses disciples aujourd’hui. Alors, les œuvres que nous devons manifester sont les mêmes que lui-même a manifestées. Jésus a même dit que nous en ferions de plus grandes. Où sont-elles ?
Ne soyons pas des hypocrites et faisons un examen de conscience approfondi. Ne raidissons point la nuque et repentons-nous. Reconnaissons nos fautes, reconnaissons simplement que nous avons tout fait sauf la volonté de Dieu Dieu nous exhorte à le faire. Jérémie 3:13 Reconnais seulement ton iniquité, Reconnais que tu as été infidèle à l’Éternel, ton Dieu, Que tu as dirigé çà et là tes pas vers les dieux étrangers, Sous tout arbre vert, Et que tu n’as pas écouté ma voix, dit l’Éternel ou encore 2 Chronique 7 :14 – 15 si mon peuple sur qui est invoqué mon nom s’humilie, prie, et cherche ma face, et s’il se détourne de ses mauvaises voies, — je l’exaucerai des cieux, je lui pardonnerai son péché, et je guérirai son pays. Mes yeux seront ouverts désormais, et mes oreilles seront attentives à la prière faite en ce lieu. Ne raidissons point le cou, humilions-nous devant le Seigneur. Détruisons les maisons de pailles et construisons à nouveau sur le fondement solide. Dieu doit passer en premier et c’est Sa volonté qui doit être notre nourriture. Alors, nous pourrons porter de bons fruits et accomplir Son œuvre, tout comme Jésus l’a accomplie lui-même.
Ne soyez pas choqués par une telle exhortation. Au contraire, elle est une bénédiction pour tous ceux qui écoutent la voix de l’Esprit. Voulons-nous rester perpétuellement dans la défaite ? Dans les difficultés ? Voulons-nous laisser les ténèbres gagner ? Voulons-nous continuer à servir notre chair ? Non. Si nous bâtissons sur ce fondement solide, notre maison sera solide et nous serons le sel de la terre et la lumière du monde et pas en paroles seulement, c’est ce que je suis actuellement en train d’expérimenter ceci
Que Dieu nous bénisse abondamment. Qu’il transperce nos cœurs et nous amène à une profonde repentance.

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