rappel sur les fêtes païennes…..


Rappel sur les fêtes païennes;

https://www.lesdokimos.org/2014/12/29/au-sujet-de-la-participation-du-chretien-la-fete-de-noel-et-autres/

https://www.lesdokimos.org/2015/12/28/linfluence-des-fetes-paiennes-chez-le-jeune-enfant/

Si nous reconnaissons tous que les anniversaires ainsi que la fête des pères, des mères et de Noël sont des fêtes commerciales et d’origine païenne, nous n’allons pas cependant jusqu’au bout d’une démarche biblique, celle des Béréens qui vérifiaient si tout ce qu’on leur enseignait était écrit dans la Parole de Dieu (Act 17 : 11). En agissant ainsi nous ne faisons qu’adorer le dieu qui se cache derrière tout cela, Mamon, le dieu de l’argent, du profit. Sous prétexte de faire plaisir aux enfants, on les entraîne dans l’amour du matériel, de l’argent et on les habitue à consommer. Pour cela, on est même capable de mentir à nos chers bambins, en leur faisant croire à l’existence d’un homme aux cheveux blanc, qui est éternel, qui donne des cadeaux et qui a la faculté d’être omniprésent, omniscient, omnipotent ! Mais à quel moment sont-ils véritablement enseignés dans la Parole ? À quand remonte le dernier culte familial ? S’ils étaient imprégnés des Écritures, jamais ils ne croiraient un seul instant à ses fables !

On chante même des louanges à ce dieu et à son arbre qui en est la représentation terrestre, le sapin. « … L’arbre de Noël, si connu aujourd’hui parmi nous, était aussi connu dans la Rome et dans l’Égypte païennes. En Égypte c’était le palmier, à Rome le sapin ; le palmier dénotait le Messie païen, Baal-Tkmar, le sapin se rapportait à lui sous son caractère de Baal-Berith… La mère d’Adonis, le dieu soleil, la divinité médiatrice avait été, disait-on, changée en arbre et dans cet état elle avait enfanté son fils. Si la mère était un arbre, le fils doit avoir été reconnu comme l’homme-branche. Et c’est ce qui explique pourquoi on mettait au feu la bûche de Yule la veille de Noël et pourquoi le lendemain on trouvait l’arbre de Noël ?…« 2.
Concernant les anniversaires, il est bon de voir qu’à aucun moment la Bible enseigne la pratique de cette fête, qu’aucun disciple ne la célébrait. Pis, les deux mentions de cette festivité dans la Parole nous relatent des faits similaires : Gen 40 : 20 nous retrace l’histoire de Pharaon qui durant ce jour fit pendre le chef des panetiers ! Nous savons que Pharaon est le type, l’image du prince de ce monde, Satan. Il en est de même pour Hérode qui sera le second Roi à festoyer de la sorte et cette fois, c’est la tête de Jean-Baptiste qui tombera (Matt 14 : 1-12) ! Quand allons-nous enfin nous réveiller ? Quand allons-nous enfin mettre en pratique la Parole de Dieu sans nous laisser tromper par de faux raisonnements. Ce sont de véritables forteresses et bien des chrétiens préfèrent se retirer en arrière et se refroidir plutôt que de devoir affronter le rejet de ceux qui ne veulent pas se conformer à la Parole.

« Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! N’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. Plusieurs me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé par ton nom ? N’avons-nous pas chassé des démons par ton nom ? Et n’avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom ? Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez ‘iniquité. » (Matt 7 : 21-23).

Quelle sentence ! Ne nous moquons pas de Dieu. Dieu est amour et Sa volonté est que tous les hommes soient sauvés. Ce salut ne peut passer que par une transformation radicale de notre être entier. Comment pourrions-nous prétendre à la gloire céleste tout en restant charnel ? C’est une incohérence, car si Dieu nous a donné son Esprit par la naissance d’en haut, c’est justement pour nous permettre d’atteindre l’impossible : la sainteté. Ne souillons pas le temple que nous sommes par des pratiques païennes. Oui cette parole est trop dure pour beaucoup dans ces temps de la fin où l’apostasie s’amplifie. Chacun est libre, certes et Dieu ne force personne. Cependant, n’est-ce pas le renier que de ne pas se positionner bibliquement face à une pratique païenne à laquelle on nous demande de participer.
Quant aux enfants, leur bonheur n’est pas lié à une fête, mais bien à l’amour qu’ils reçoivent de leurs parents et à la présence de Jésus dans leur foyer.
Ils aiment les cadeaux, alors offrons leur avant tout le plus beau des cadeaux, la perle précieuse, Jésus de Nazareth pour qu’il devienne leur Sauveur et cela ne nous empêche pas de leur acheter aussi les jouets qu’ils aiment et ce, à tout moment. Ne sommes-nous pas séparés du monde ? Alors, acceptons-le sans se débattre. Le peuple d’Israël a quitté l’Égypte en quelques heures, mais a mis quarante années pour en être complètement débarrassé ! Courage, Jésus a vaincu le monde et à notre tour « ce qui triomphe du monde c’est notre foi (1 Jean 5 : 4) ».

https://bereenne.wordpress.com/2015/12/24/noel/