les souffrances de Christ et la croix


j’ai pris connaissance de toute la parole de dieu , de christ, de l’esprit saint et j’en suis arrivé que l’apostasie va plus loin que tous ses mouvements d’églises visible ou autre, je m’aperçois que la séduction est grande et que même en voulant marcher vers christ le plus purement possible , le combat de la chair et là , vous seriez surpris de voir comment le malin peut diviser les chrétiens né de nouveau et nous le voyons aujourd’hui, avons-nous la patience de christ, l’amour de christ en nous, ne devons-nous pas plutôt parler le même langage que christ au lieu de se diviser et foncer aveuglément, je suis comme vous , je prends la parole tous les jours , je ne cherche rien à prouver, ne cherchons pas à prouver que nous avons plus de connaissance que d’autre ou plus avancé que d’autre sur l’enseignement de la parole , je m’aperçois que nous nous divisons même sur notre compréhension (de chacun) dans la parole de christ car nous marchons plus en temps que chrétien charnel que chrétien spirituel et de nos jours il y a une vague de chrétiens psychique et l’aveuglement est grand dans ce domaine, je fais confiance en totalité à sa parole et je m’efforce à ne pas tomber dans ce piège , la séduction peut nous rattraper même dans le désire de vouloir marcher pour christ, l’orgueil, la vanité…

Marchons par l’esprit mais pas par la chair, nous vivons dans une époque où nous sommes dans les dernières pages de la bible, l’apocalypse, « vais-je trouver la foi….. » a dit jésus pour son retour. Prenons plus de temps avec lui que de nous quereller dans le vouloir de montrer que nous avons compris la parole de dieu, elle est la même pour tous. Amen !

Je vais vous parler de la croix , beaucoup  se pose des questions quand ils  entendent parler de la croix par un pasteur , évangéliste, un frère ou une sœur , qu’est la croix et jésus ? de quoi est’ il question ?certains qui on suivi un enseignements religieux répondront que c’était le moyen de faire mourir jésus ,  dans jean 19 v17-19 :  « jésus, portant sa croix, arriva au lieu du crâne, qui se nomme     

En hébreux golgotha. C’est là qu’il fut crucifié, et deux autres avec lui, un de chaque coté, et jésus au milieu…. » mais sans savoir que ceci était l’annulation de la malédiction qui pèse sur tout hommes et femmes pécheurs

ÉVANGILE SELON MATTHIEU:

10.38   celui qui ne prend pas sa croix, et ne me suit pas, n’est pas digne de moi.

16.24      Alors Jésus dit à ses disciples: Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix, et qu’il me suive.

27.32   Lorsqu’ils sortirent, ils rencontrèrent un homme de Cyrène, appelé Simon, et ils le forcèrent à porter la croix de Jésus.

27.40   en disant: Toi qui détruis le temple, et qui le rebâtis en trois jours, sauve-toi toi-même! Si tu es le Fils de Dieu, descends de la croix!

27.42   Il a sauvé les autres, et il ne peut se sauver lui-même! S’il est roi d’Israël, qu’il descende de la croix, et nous croirons en lui.

ÉVANGILE SELON MARC:

8.34    Puis, ayant appelé la foule avec ses disciples, il leur dit: Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix, et qu’il me suive.

15.21   Ils forcèrent à porter la croix de Jésus un passant qui revenait des champs, Simon de Cyrène, père d’Alexandre et de Rufus;

15.30   sauve-toi toi-même, en descendant de la croix!

15.32   Que le Christ, le roi d’Israël, descende maintenant de la croix, afin que nous voyions et que nous croyions! Ceux qui étaient crucifiés avec lui l’insultaient aussi.

15.46   Et Joseph, ayant acheté un linceul, descendit Jésus de la croix, l’enveloppa du linceul, et le déposa dans un sépulcre taillé dans le roc. Puis il roula une pierre à l’entrée du sépulcre.

ÉVANGILE SELON LUC:

9.23    Puis il dit à tous: Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge chaque jour de sa croix, et qu’il me suive.

14.27   Et quiconque ne porte pas sa croix, et ne me suis pas, ne peut être mon disciple.

23.26      Comme ils l’emmenaient, ils prirent un certain Simon de Cyrène, qui revenait des champs, et ils le chargèrent de la croix, pour qu’il la porte derrière Jésus.

23.53   Il le descendit de la croix, l’enveloppa d’un linceul, et le déposa dans un sépulcre taillé dans le roc, où personne n’avait encore été mis.

ÉVANGILE SELON JEAN:

19.17   Jésus, portant sa croix, arriva au lieu du crâne, qui se nomme en hébreu Golgotha.

19.19      Pilate fit une inscription, qu’il plaça sur la croix, et qui était ainsi conçue: Jésus de Nazareth, roi des Juifs.

19.25   Près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la soeur de sa mère, Marie, femme de Clopas, et Marie de Magdala.

19.31      Dans la crainte que les corps ne restassent sur la croix pendant le sabbat, -car c’était la préparation, et ce jour de sabbat était un grand jour, -les Juifs demandèrent à Pilate qu’on rompît les jambes aux crucifiés, et qu’on les enlevât.

ACTES DES APÔTRES:

13.29   Et, après qu’ils eurent accompli tout ce qui est écrit de lui, ils le descendirent de la croix et le déposèrent dans un sépulcre.

PREMIÈRE ÉPÎTRE DE PAUL AUX CORINTHIENS:

1.17       Ce n’est pas pour baptiser que Christ m’a envoyé, c’est pour annoncer l’Évangile, et cela sans la sagesse du langage, afin que la croix de Christ ne soit pas rendue vaine.

1.18    Car la prédication de la croix est une folie pour ceux qui périssent; mais pour nous qui sommes sauvés, elle est une puissance de Dieu.

ÉPÎTRE DE PAUL AUX GALATES:

5.11    Pour moi, frères, si je prêche encore la circoncision, pourquoi suis-je encore persécuté? Le scandale de la croix a donc disparu!

6.12    Tous ceux qui veulent se rendre agréables selon la chair vous contraignent à vous faire circoncire, uniquement afin de n’être pas persécutés pour la croix de Christ.

6.14    Pour ce qui me concerne, loin de moi la pensée de me glorifier d’autre chose que de la croix de notre Seigneur Jésus Christ, par qui le monde est crucifié pour moi, comme je le suis pour le monde!

ÉPÎTRE DE PAUL AUX ÉPHÉSIENS:

2.16    et de les réconcilier, l’un et l’autre en un seul corps, avec Dieu par la croix, en détruisant par elle l’inimitié.

ÉPÎTRE DE PAUL AUX PHILIPPIENS:

2.8     il s’est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu’à la mort, même jusqu’à la mort de la croix.

3.18    Car il en est plusieurs qui marchent en ennemis de la croix de Christ, je vous en ai souvent parlé, et j’en parle maintenant encore en pleurant.

ÉPÎTRE DE PAUL AUX COLOSSIENS:

1.20    il a voulu par lui réconcilier tout avec lui-même, tant ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux, en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix.

2.14    il a effacé l’acte dont les ordonnances nous condamnaient et qui subsistait contre nous, et il l’a détruit en le clouant à la croix;

2.15    il a dépouillé les dominations et les autorités, et les a livrées publiquement en spectacle, en triomphant d’elles par la croix.

ÉPÎTRE AUX HÉBREUX:

12.2    ayant les regards sur Jésus, le chef et le consommateur de la foi, qui, en vue de la joie qui lui était réservée, a souffert la croix, méprisé l’ignominie, et s’est assis à la droite du trône de Dieu.

Quelles sont encore, les souffrances de Christ ?

C’est la souffrance de voir les ravages causés par le péché. C’est la souffrance de constater l’aveuglement spirituel. C’est la souffrance de voir la Vérité rejetée et bafouée. C’est la souffrance de voir des âmes rejeter le salut et préférer le plaisir momentané du péché. C’est la souffrance de constater une telle incrédulité. C’est la souffrance de voir tant de malades et d’infirmes. C’est la souffrance de voir tant de brebis sans berger. C’est la souffrance de voir l’Apocalypse s’approcher, dans l’indifférence quasi générale. C’est la souffrance de voir tant de Chrétiens négliger de se sanctifier, devant l’imminence de l’enlèvement de l’Epouse de Christ… (son église) »

Il y a encore tant de personnes qui croit souffrir pour Dieu, alors qu’en réalité elles souffrent pour leur propre chair impie ! Combien de fois, nous allons nous faire encore « avoir » et pourtant, les souffrances de la chair n’ont aucune commune mesure avec celles de christ qui nous pousse à prier, à pleurer, à bénir…que c’est difficile à expliquer cette différence, si ce n’est un état surnaturel inexplicable. Combien parmi nous pensent souffrir les souffrances de Christ parce qu’elles sont malades, parce que les blessures morales de l’un et de l’autre reviennent toujours. Alors le risque est de se trouver dans un combat sans issu, mortel et sans espoir, c’est peut-être pour cela aussi que tant de chrétien qui végètent finissent par renier leur foi ? nous nous préoccupons peut êtres trop sur ce que nous voulons faire par nos propres moyens pour jésus, mais nous ne nous préoccupons pas sur ce que jésus, lui, attend de nous pour lui et les autres et sur ce qu’il nous a donné pour le réaliser …. AMEN !

Sachons discerner en marchant par l’Esprit : il y a les « bonnes » souffrances permises par Dieu pour nous enseigner et qui ne nous laisse pas subir plus que ce que nous pourrions supporter ; il y a les souffrances du diable qui a pour but de nous détruire ; il y a aussi les souffrances qui découlent de nos mauvais choix charnels ; il y a aussi les souffrances des autres que l’on ressent par empathie… entre autres souffrances de formes diverses.

Toutes les souffrances découlent des tribulations que Dieu nous a « promises » dans ce monde et tant que nous sommes dans ce monde. Les persécutions que les enfants de Dieu subissent ne sont pas forcément apparentes comme ça nous est relatées comme des massacres par exemple ; les persécutions sont les inhérentes et inévitables conséquences de notre identité en Christ.

Quelques soient les souffrances, Dieu fera du mal un bien pour Sa gloire et l’avancement de Son royaume dans Son dessein éternel. Dans tous les cas, nous devons garder la Paix (ce qui n’est pas facile) que seul Dieu donne parce qu’Il nous garde et nous protège, nous sommes « la prunelle de Ses yeux » ; et si nous devons perdre notre vie pour Lui : Philippiens 1.21 « … car Christ est ma vie, et la mort m’est un gain. « 

Terminée, l’obligation vaccinale Covid ! Mais attention, il y a des mauvaises surprises dans le rapport de la H. A. S.


Oups🫢 j ai éditer par erreur cet artucke sur ce blog au lieu de mon autre blog : « la réalité cachée du monde actuel » toutes mes excuses…. 🫣🙋🏻‍♂️

Commençons par imaginer la scène.

Nous sommes le jour où les soignants suspendus reviennent à l’hôpital. Cela fait près de 600 jours qu’ils ont été « mis à la porte », sans ménagement. 600 jours qu’ils vivent sans salaire. Sans indemnité chômage. Sans rien.

Leur crime ?

Avoir refusé un vaccin qui n’a jamais empêché personne de contaminer les autres. Avoir refusé un vaccin expérimental, qui peut causer de graves effets indésirables. Ces soignants non-vaccinés n’étaient absolument pas « égoïstes ». Pour protéger leurs patients, ils étaient prêts à se tester contre le Covid, tous les jours s’il le fallait. Mais on leur a dit non : c’était le vaccin ou la porte…… et pendant ce temps, on autorisait les soignants (vaccinés) à travailler, même lorsqu’ils étaient testés positifs au Covid

Oui , il faut le rappeler : en pleine pénurie de personnel, on a permis aux soignants testés positifs au Covid de venir au travail et risquer de contaminer leurs patients… alors qu’on bannissait les soignants non vaccinés, même s’ils avaient un test PCR négatif et qu’ils ne faisaient courir aucun risque à leurs patients. Chez les soignants non-vaccinés, il n’y avait ni « complotisme », ni méfiance face à la science. Bien au contraire. C’est parce qu’ils étaient bien informés scientifiquement qu’ils savaient qu’un vaccin injecté dans le muscle ne pouvait pas empêcher la transmission d’un virus qui se multiplie dans le nez. C’est parce qu’ils connaissaient l’histoire médicale qu’ils savaient qu’un vaccin fabriqué en quelques mois, contre un virus nouveau, avec une technologie nouvelle, avait de fortes chances de faire plus de mal que de bien.

Alors, j’imagine la scène – peut-être un peu irréaliste, mais rêvons un peu. Ce matin-là, le jour de leur retour, je vois ces soignants non-vaccinés arriver dans leur service hospitalier, la tête haute. Et j’imagine la plupart de leurs collègues baisser la tête. Oui, baisser la tête, honteux de ne pas avoir protesté, pendant ces 600 jours. Honteux de ne pas s’être élevés contre une obligation vaccinale contraire aux valeurs médicales les plus fondamentales : aucun homme, aucune femme ne doit être traité comme un cobaye, soumis de force à une injection expérimentale.

Aujourd’hui, beaucoup de soignants vaccinés ont compris qu’ils ont été trompés, avec ces vaccins Covid. On leur avait promis l’éradication du virus et le « retour à la vie normale », avec deux petites doses de vaccin. Résultat : après 5 doses, il y a encore et toujours des vagues épidémiques. Ils ont fini par comprendre que ces vaccins Covid :

  • Ne pouvaient pas empêcher la transmission du virus, et encore moins stopper l’épidémie ;
  • Risquaient au contraire d’amplifier l’épidémie en favorisant l’apparition de variants ;
  • N’ont jamais fait la preuve d’une quelconque protection contre les formes graves.
  • Et ont causé des dégâts médicaux absolument considérables – le ministère de la Santé allemand a récemment reconnu que ces vaccins causent 1 effet indésirable grave sur 10 000 injections, ce qui est énorme pour des vaccins promus comme « sans danger » (et la réalité est encore pire).

Bref, comme l’ensemble des Français, les soignants vaccinés ont été trompés, et beaucoup commencent à le comprendre, fort heureusement. C’est donc avec un peu d’admiration, désormais, qu’ils observent leurs collègues non-vaccinés. Car ce sont bien les suspendus les vrais « scientifiques ». Ce sont eux qui ont su faire la différence entre la « science big pharma », manipulée à souhait, et le vrai savoir médical. Ce sont eux, les suspendus, qui ont exercé leur esprit critique, plutôt que d’accepter sans réfléchir les injonctions venues d’en haut. Ce sont eux, les suspendus, qui ont eu l’immense courage d’accepter d’être mis au ban de la société, sans ressources pour vivre, pour défendre les principes de l’inviolabilité du corps et du consentement libre et éclairé.

En un mot : hourra pour les suspendus.

Ils sont notre modèle, dans un monde en pleine dérive totalitaire, où le conformisme sans cervelle est plus que jamais valorisé, où l’esprit critique en vient même à être diabolisé (penser par soi-même est maintenant du « complotisme »). Et on peut donc se réjouir de la bonne nouvelle : la Haute Autorité de Santé (HAS) a recommandé de mettre fin à l’obligation vaccinale Covid pour les soignants.

Autre bonne nouvelle : dans le rapport de la HAS, il y a un deuxième progrès.

La HAS demande aussi la fin de l’obligation du vaccin DTP (diphtérie, tétanos, polio) pour les soignants.

C’est une bonne chose. Cela fait longtemps qu’il n’existe plus la moindre raison d’obliger qui que ce soit à recevoir ce vaccin :

  • parce que ces maladies ont largement disparu de nos contrées ;.
  • et parce qu’ils ne sont pas « altruistes » : ils ne peuvent défendre personne d’autre que ceux qui se vaccinent.

Mais les bonnes nouvelles s’arrêtent là.

Quand on lit précisément ce rapport de la HAS, on voit que la « pensée magique » sur les vaccins reste omniprésente. Pour chacune des trois maladies du DTP – diphtérie, tétanos et polio – la HAS réussit à sortir une énormité :

Énormité numéro 1 : le vaccin contre la diphtérie 

La diphtérie est une maladie qui a largement disparu en Occident, fort heureusement. Certains disent que ce serait « grâce aux vaccins », mais ce n’est pas vrai. Déjà, rappelons que 90 % des formes graves avaient disparu avant la vaccination généralisée. Mais surtout, les vaccins ne peuvent rien contre la circulation de la bactérie.

Comme le reconnaît la HAS, « la vaccination n’empêche pas le portage de la bactérie ».

Pour une raison simple : ce qu’on met dans le vaccin, c’est la toxine produite par la bactérie, et non la bactérie elle-même. Au mieux, le vaccin peut donc protéger contre une forme grave – en atténuant les dégâts de cette toxine. Mais elle ne peut pas empêcher de « porter la bactérie », ni de la transmettre à autrui. D’ailleurs, le rapport donne un chiffre intéressant, au sujet des infections nosocomiales, attrapées à l’hôpital. Depuis 2011, on compte 12 cas de diphtéries nosocomiales : « il s’agit de 12 cas de patients dont 1 était non vacciné », précise le rapport. Autrement dit, 11 patients sur ces 12 cas étaient bien vaccinés. Mais après avoir écrit cela, la HAS repart dans la « pensée magique ».

Pour nos « grands experts », il faudrait – envers et contre tout – défendre l’idée que le vaccin contre la diphtérie « procure une immunité de groupe ». Ce qui voudrait dire qu’en se vaccinant soi, on contribue à protéger les autres.

Mais comment ce miracle serait-il possible ?

Eh bien, la HAS se contente de remarquer que le nombre de cas de diphtérie a largement reculé dans le monde, et que cela a coïncidé avec un effort global de vaccination. C’est un raisonnement ridicule : d’autres maladies ont largement disparu du globe, sans qu’il n’y ait jamais eu de vaccination massive : pensez à la gale, la peste, le choléra ou la scarlatine. Il n’y a aucune raison biologique sérieuse d’imaginer que ces vaccins puissent empêcher la circulation de la bactérie – sachant que le vaccin contient la toxine, pas la bactérie, comme on l’a dit. Mais la HAS ose quand même sortir un chiffre de son chapeau : « La couverture vaccinale minimale pour assurer une immunité de groupe est estimée à 80-85 % ».

C’est une affirmation gratuite, sans le moindre fondement.

Et si vous avez encore un doute, sachez qu’après l’âge de 40 ans, la majorité des Français n’ont plus d’anticorps contre la diphtérie, ce qui rend impossible toute immunité de groupe.

Énormité numéro 2 : le vaccin contre le tétanos 

Sur le tétanos, la HAS est bien obligée de reconnaître qu’il s’agit d’un vaccin égoïste – qui ne peut protéger personne d’autre que le vacciné. Et pour cause, le tétanos est « une maladie non contagieuse » !

Un vaccin qui protègerait autrui d’une maladie non contagieuse, ce serait vraiment très fort 😊. Donc, il n’y a jamais eu la moindre justification d’une obligation vaccinale contre le tétanos – et pourtant, l’obligation perdure en France depuis plus de 80 ans.

En plus, comme pour la diphtérie, le vaccin contient la toxine de la bactérie, et non la bactérie elle-même. Logiquement, les vaccins anti-tétanos « n’ont pas d’impact sur le portage des bactéries », précise la HAS. Bref, on peut être vacciné et infecté. Mais comme la maladie n’est pas contagieuse, on ne peut pas la transmettre, qu’on soit vacciné ou pas ! Ici, la HAS doit bien reconnaître qu’« une couverture vaccinale élevée dans la population ne protège pas les sujets non ou mal vaccinés ». Et bien sûr, pour les mêmes raisons, « le risque de contamination soignant-soigné et soigné-soignant est inexistant ».

Mais – retour de la pensée magique ! – la HAS ne peut pas s’empêcher de dire ceci, au sujet du tétanos :

« Grâce à la vaccination, la maladie a presque disparu en France, seuls persistent une dizaine de cas annuels chez des personnes le plus souvent âgées non vaccinées ou dont le dernier rappel est très ancien ».

C’est étrange de dire cela, quand on vient de reconnaître qu’il ne peut pas y avoir d’immunité de groupe ! Et que le vaccin, au mieux, protège des formes graves, et non de la bactérie elle-même ! Il faut savoir, en plus, que la majorité des personnes âgées ne sont pas vaccinées (ou correctement vaccinées) contre le tétanos.

Donc si la majorité des personnes de plus de 65 ans n’attrapent plus le tétanos, cela n’a rien à voir avec la vaccination. C’est lié à d’autres facteurs, notamment le fait qu’on soigne mieux les plaies qu’avant et que le nombre de gens qui travaillent la terre s’est largement réduit. Mais le dogme vaccinal exige de dire et répéter cette contre-vérité : si une maladie a disparu, c’est forcément grâce au vaccin.

Énormité numéro 3 : le vaccin contre la polio 

Au sujet de la polio, la HAS commence par un fait incontestable :

« Le virus se transmet principalement par voie oro-fécale (…) et il se multiplie dans l’intestin ».

Donc, le virus se multiplie dans l’intestin, puis se transmet via les selles (dans les eaux usées mal assainies, le plus souvent). Or, il faut savoir que le système immunitaire de l’intestin est séparé du système immunitaire général. Les anticorps fabriqués dans le sang ne sont pas les mêmes que ceux fabriqués dans l’intestin. De même, les anticorps fabriqués dans le nez ne sont pas les mêmes que les anticorps sanguins. La cavité nasale et l’intestin ont ainsi leur propre immunité – dite « muccosale » car ce sont des muqueuses – qui ne se confond pas avec l’immunité générale (dite « humorale »). Donc, pour la même raison qu’un vaccin Covid injecté dans le muscle ne pouvait pas empêcher la transmission d’un virus qui se multiplie dans le nez…

… un vaccin polio injecté dans le muscle ne peut pas empêcher la transmission d’un virus qui se multiplie dans l’intestin… et se transmet le plus souvent par les selles. La HAS le reconnaît à demi-mot : « le vaccin inactivé injectable (seul utilisé en Europe) n’empêche pas l’infection digestive asymptomatique, et donc la circulation du virus ». Donc, le vaccin utilisé aujourd’hui en Occident ne peut pas empêcher la circulation du virus, notamment dans les eaux usées. Par conséquent, s’il n’y a plus de cas de polio en Occident depuis des lustres (« en France, le dernier cas de poliomyélite autochtone remonte à 1989 »), cela n’a rien à voir avec le vaccin.

C’est clair non ?

Oui, mais c’est un blasphème, un affront à la religion vaccinale ! Alors, la HAS se rattrape aux branches, à nouveau, avec la pensée magique. Certes, elle admet que le vaccin « induit une faible réponse immunitaire au niveau des muqueuses intestinales » (pour la raison évoquée plus haut : les anticorps du sang ne sont pas les mêmes que les anticorps de l’intestin). Mais, ajoute la HAS, « elle permettrait tout de même de réduire la quantité de virus excrétée dans les selles et la durée de l’excrétion, ce qui contribuerait à diminuer la transmission, sans toutefois l’arrêter complètement ». Tout cela écrit au conditionnel, bien sûr, vu la pauvreté des données permettant de soutenir cette idée.

En réalité, il s’agit ici pour la HAS de sauver la religion vaccinale, coûte que coûte.

La HAS avance même une preuve « épidémiologique » franchement risible.

Dans les années 1950-1960, plusieurs pays scandinaves n’ont utilisé que le vaccin polio injectable (plutôt que le vaccin oral, capable, lui, de neutraliser le virus dans l’intestin) « et ont tout de même réussi à éliminer rapidement la circulation des poliovirus sur leur territoire ».

Eh bien oui ! Mais cela ne démontre en rien que le vaccin injecté dans le muscle pourrait réussir à éliminer la circulation du virus de la polio. Au contraire, c’est bien la preuve que ce n’est pas la vaccination qui a permis d’éliminer la polio, mais d’autres progrès sanitaires (l’assainissement des eaux en particulier).

Mais la HAS veut absolument voir un signe positif dans l’expérience scandinave : « Ces observations suggèrent que le vaccin injectable seul est capable d’interrompre la transmission des poliovirus et de générer une immunité populationnelle et ce, malgré la faible réponse immunitaire intestinale qu’il induit ».

On retrouve, une fois de plus, l’idée que le vaccin permettrait une « immunité de groupe », donc que se vacciner soi pourrait protéger les autres… alors que le vaccin contre la polio ne peut pas empêcher le virus de circuler ! C’est un raisonnement acrobatique, mais cela permet à la HAS de conclure par cette énormité, conforme au dogme de l’infaillibilité vaccinale :

« La vaccination a permis d’éliminer la poliomyélite en France, comme dans la plupart des autres pays du monde ».

Vous voyez comment fonctionne la désinformation vaccinale ? Vraiment, il est urgent d’en finir avec la pensée magique sur les vaccins. Si nous ne nous réveillons pas, nous risquons de subir des obligations vaccinales nouvelles, à la moindre occasion……