Les géants : mythe ou réalité ?


Dans l’expérience humaine, les géants sont littéralement les “éléphants dans la pièce”. Quand notre recherche a débuté sur ce paradigme, nous avions peu de connaissances sur l’ampleur des preuves de leur existence. Nous avons maintenant une base de données complète composée de plus de 200 descriptions historiques; plus de la moitié provenant de l’histoire britannique et de celle américaine. Et nos dossiers inédits contiennent suffisamment d’informations pour plus que tripler les données actuelles que nous avons maintenant en ligne. Si quelqu’un tentait d’entreprendre une étude approfondie au sujet des géants et tout enregistrer en détail, ce serait certainement le travail de toute une vie.


Le manque de la présence de géants dans l’histoire orthodoxe et universitaire, et dans les études anthropologiques, est épouvantable à la lumière des vraies études historiques de toutes les parties du globe. Ce qui est encore plus mystérieux, c’est la décision apparemment unanime des gardiens des musées du monde et des trésors archéologiques de garder les preuves physiques au sujet des géants cachées du public. Seulement une poignée de preuves sont disponibles dans des endroits obscurs. Des milliers de squelettes et des centaines de rapports historiques sont ignorés.
La connaissance acceptée parmi les peuples du monde, c’est que les géants sont des créatures des mythes et du folklore, relégués à des contes pour enfants et à des films d’horreur de seconde qualité ; c’est presque un crime de ne pas inclure un géant dans tous les films fantastiques ou les jeux vidéo. La réalité est que les géants étaient présents tout au long de notre histoire dans les anciens récits bibliques et dans les campagnes militaires historiques romaines jusqu’au génocide relativement moderne des indigènes de l’Amérique du Nord.

Une foule de preuves
Les géants apparaissent dans les légendes de l’Australie, de la Bavière, de la Belgique, du Brésil, du Tchad, de la République Tchèque, du Chili, de la Chine, de la République Dominicaine, de l’Angleterre, de la France, de l’Allemagne, de la Grèce, de la Hollande, de l’Inde, de l’Italie, du Kazakhstan, du Laos, de Malte, du Maroc, des Pays-Bas, de la Nouvelle-Écosse, du Pakistan, de la Palestine, de la Patagonie, des Philippines, de la Pologne, du Rwanda, de la Russie, de l’Écosse, de la Sicile, des îles Salomon, de l’Espagne, de la Suède, de la Suisse, de la Terre de Feu, de la Turquie, des États-Unis, du pays de Galles, de Zanzibar, et des anciennes cultures inca, toltèque et nordiques, pour n’en nommer que quelques-uns.
Les géants sont partout: dans nos religions, notre histoire, notre littérature et notre folklore. Les légendes des humains extraordinairement grands sont trouvées dans presque chaque culture et sur presque tous les continents. Mais ils sont toujours considérés comme des êtres mythiques. Jack, dans le haricot magique, Paul Bunyan et son bœuf géant, et les voyages de Gulliver sont des histoires pour enfants qui sont familières dans la littérature. Il existe des festivals dédiés à des géants, ils sont représentés dans les peintures, les statues et les peintures rupestres, et même l’Église catholique a son propre saint géant; Saint-Christophe, qui était si grand qu’il gagnait sa vie comme traversier humain, transportant des personnes sur ses épaules à travers les rivières profondes.
Saint-Christophe a été décrit par Jacques de Voragine dans “La Légende dorée”: “Il avait une stature gigantesque et il avait une mine terrifiante, ayant douze coudées de haut.” (Une coudée est égale ou plus grande que le pied anglais). Selon cet ancien récit, Saint-Christophe se dressait entre 12 à 18 pieds de haut, un fait qui a été effacé de l’histoire de l’Église. Alors que les icônes occidentales de Saint-Christophe ne le représentent pas comme un géant, celles des Églises orientales le font. Son histoire, en bref, est que son nom était à l’origine Offro ou Offerus, et il était un géant d’une grande force, mais d’une nature sensible, voyageant à la recherche du plus grand Dieu. Il était peut-être de naissance royale. Sa recherche l’a finalement mené à une étrange occupation comme traversier humain, étant engagé pour littéralement transporter des personnes à travers des rivières trop profondes pour qu’un humain normal puisse les traverser. La légende veut que Jésus ait été un de ses clients. Jésus l’aurait supposément bénit et lui aurait dit qu’il avait transporté tous les péchés du monde sur ses épaules. Après que le géant ait transporté Jésus à travers une rivière, il aurait demandé à Saint-Christophe de planter son grand bâton dans le sol. Immédiatement, un merveilleux grand arbre serait miraculeusement surgi.”

Les géants dans la bible
La Bible, seule, de tous les anciens écrits décrivant les géants, a des dizaines de descriptions d’êtres géants. Même la récente découverte des Manuscrits de la Mer Morte contient un livre appelé «Le Livre des Géants». Le géant Goliath n’était seulement qu’un des nombreux géants dont parle la Bible ; quoiqu’il soit le plus célèbre. Le verset 4 de Genèse 6 commence par: « Les géants étaient sur la terre en ces temps-là. » Le mot « géants » dans Genèse 6:4 est traduit du mot hébreu nphiyl, prononcé Nef-eel; soit un tyran ou énorme.
S’il y a le moindre doute au sujet de la véritable signification de ce mot, il suffit d’aller à la prochaine instance dans la Bible où le mot «nphiyl » est utilisé pour obtenir une signification claire. Moïse décrit une race de géants appelés les Amalécites dans le pays de Canaan: « Et nous y avons vu les géants, enfants d’Anak, de la race des géants: Nous étions à nos yeux et aux leurs comme des sauterelles. » (Nombres 13 33) Ou, à l’instance suivante dans l’ordre: « Og, roi de Basan, était resté seul de la race des Rephraïm. Voici, son lit, un lit de fer, n’est-il pas à Rabbath, ville des enfants d’Ammon? Sa longueur est de neuf coudées, et sa largeur de quatre coudées, en coudées d’homme. » (Deutéronome 03:11) Dans la conversion en termes modernes, ce verset indique que le lit du roi Og est de 14 pieds de long et de 6 pieds de large, ce qui donne une estimation de la grandeur du roi Og à 12 pieds (3,8 mètres), ou plus grand.

Quelques exemples notables dans le monde
Un des cas les plus fascinants des géants de l’histoire américaine sont les géants Smithsoniens. Lors de la conquête génocidaire des peuples autochtones d’Amérique du Nord, la cavalerie et les mercenaires des États-Unis ont rencontré des géants qui vivaient parmi les tribus et ont engagé le combat directement avec eux. L’état d’esprit utilisé pour justifier le massacre d’un grand nombre et la relocalisation forcée du reste de ces tribus était qu’ils étaient des sous-hommes; leur peau plus foncée étant la clé pour cette méprise grossière. Les géants qu’ils ont rencontrés et tués avaient à tête rouge et la peau blanche. Craignant une réaction négative du peuple américain pour les massacres de blancs, géants ou non, le gouvernement a ordonné que tous les corps de ces géants soient récupérés et expédiés au Smithsonian Institute, afin de cacher les preuves préjudiciables. Nous n’avons aucune idée si ces organismes aient été éliminés, mais il y a suffisamment de preuves disponibles provenant des officiels et des documents Smithsoniens de l’époque pour croire que le tout ait réellement eu lieu.
Des ossements de géants ont été découverts aux États-Unis, à New York, en Californie, en Ohio, au Tennessee, en Illinois, en Virginie, en Virginie occidentale, au Wisconsin, au Missouri, au Nevada, en Indiana, au Minnesota, au Dakota du Nord, en Pennsylvanie, en Arizona, au Nouveau Mexique et au Kentucky aussi tôt qu’en 1792 jusqu’en 1965.
Les légendes des premières tribus de l’Amérique du Nord sont riches avec des histoires de géants, dont les Sioux qui parlent de géants qui attrapaient des bisons, et les histoires algonquines de géants, des hommes barbus qui ont d’abord occupé leurs terres natales. Des particuliers, à partir de Christophe Colomb jusqu’à Wild Bill Cody, ont témoigné de leur existence en Amérique du Nord. Des rapports de squelettes géants mesurant jusqu’à 25 pieds et plus étant découverts ont été signalés dans l’histoire primitive de l’occupation des États-Unis.
L’histoire primitive anglaise décrit, et donne même des noms, des géants. Miss Marion, la Reine des Amazones de 8 pieds six pouces; George Auger, l’homme de 8 pieds quatre pouces du Cirque Barnum et Bailey en 1903; Charles Byrne, un géant imposant de huit pieds deux pouces, qui a gagné la gloire dans les années 1700 à Londres. Les ossements de géants allant jusqu’à 13 pieds et plus ont été découverts dans la campagne anglaise.
En Chine, les archéologues ont trouvé quelques-uns des plus anciens restes de géants, allant jusqu’à quinze pieds de haut. Melchior Nunez, dans ses lettres de l’Inde, atteste du fait qu’environ cinq cents géants étaient utilisés comme archers pour garder les portes de Pékin. George Hakewill, dans son Apologie écrite en 1627, a publié un rapport similaire.

Un squelette trouvé en 1692 dans une tombe près d’Angers, en France, mesurait dix-sept pieds quatre pouces. Et dans son “De Gigantibus”, Joh Cassanio parle d’un géant à Bordeaux qui était tellement grand qu’un homme de taille ordinaire pouvait marcher entre ses jambes. Il affirme que François Ier de France (1494-1547) l’avait enrôlé comme un de ses gardes.
Les Grecs avaient plus que leur part de géants dans leurs légendes, incluant Agrius, Alcyonée, Aloeus, Alpus, Antée, Arges, Atlas, Brontes, Chthonius, Clytius, Coeus, Crius, Cronos, Damasen, Encelade, Ephialtès, Epiméthée, Eurytos, Gegenees, Gration, Hippolyte, Hopladamus, Hypérion, Japet, Métis, Mimas, Mnémosyne, Oceanus, Orion, Orius, Otus, Pallas, Peloreus, Phoebe, Polybotes, Porphyrion, Prométhée, Rhéa, Stéropès, Talus, Téthys, Théa, Thémis, Thoas, Thurius et Typhée.
À Agadir, au Maroc, le capitaine français Lafanechère a découvert un arsenal complet d’armes de chasse, dont cinq cents haches à doubles tranchants pesant plus de 17 livres, 20 fois plus lourdes qu’une hache normale pour un homme moderne. Pour utiliser ces outils, il faudrait les mains d’une taille appropriée pour un géant avec une stature d’au moins 13 pieds.

Les géants jouent un rôle essentiel dans la tradition des dieux nordiques, y compris Angr-boda, Asvid, Aurboda, Aurvandil, Baugi, Beli, Bergelmir, Bestla, Bolthorn, Bolverk, Borr, Brimer, Buri, Byleist, Eggther, Farbauti, Fjolvar , Gang, Geirrod, Gerdh, Gilling, Gjalp, Grid, Gunnlauth, Gymir, Hela, Helblindi, Hlebard, Hrauthung, Hreidmar, Hrimthurs, Hrod, Hrungnir, Hrym, Hymir, Hyndla, Hyrrokin, Ide, Jarnsaxa, Jötunn, Laufey, Leirbrimir, Logi, Mistblindi, Norfe, Odin, Orvandil, Skadi, Surt, Suttung, Thiassi, Thrym, Thurs, Tjatsi, Trivaldi, Trym, Utgarda-Loki, et Vafthruthnir.

Plusieurs marins, tels que Christophe Colomb, Ferdinand Magellan, Sir Francis Drake, Sir Thomas Cavendish, Oliver Noort, Sebald de Weert, William Cowley, George Spilbergen et George Shelvock, ont rapporté avoir rencontré des géants dans les récits de leurs voyages.

En 1812, un journal italien a rapporté que, dans la vallée de Mazara, en Sicile, le squelette d’un homme de dix pieds et trois pouces a été déterré dans la même zone où plusieurs autres squelettes humains de tailles gigantesques avaient été précédemment trouvés.

En 1950, dans la vallée de l’Euphrate, en Turquie du Sud-Est, de nombreuses tombes contenant des géants de 14 à 16 pieds de haut ont été découverts.

Les Géants de la Caverne Breitenwinner – une percée potentielle
Dans notre recherche initiale pour compiler notre base de données de géants dans l’histoire humaine, nous avons creusé profondément pour trouver le plus possible de références aux géants. En 2003, nous avons découvert un document obscur prétendument écrit par un Berthold Büchner en 1535, qui parlait d’ossements géants trouvés dans la grotte Breitenwinner de la région bavaroise de l’Allemagne. Dans l’ouverture de ce document, Büchner, parlant de l’exploration de la grotte, a déclaré: « Les merveilles qu’ils y ont vu ont été écrites par Berthold Büchner. Les ignorants ne croiront pas cette histoire, les expérimentés ne penseront pas que ce soit possible. Mais nous les avons vu de nos propres yeux, et c’est la vérité. » En outre, en 1535, racontant son expérience, Büchner continue en documentant ce qui suit: « En rampant à l’intérieur, nous avons trouvé tellement d’ossements que les premiers d’entre nous ont dû les entasser dans un seul endroit pour faire de la place pour nous permettre d’entrer. Les ossements étaient très grands, comme s’ils provenaient de géants. [Et] Nous sommes arrivés dans une voûte étroite où nous avons trouvé un crâne plus grand que tout ce que nous avons vu auparavant. »
Malheureusement, nous avons été confrontés à un incident oublié depuis longtemps qui s’est produit il y a près de 500 ans. Nous avons pu retrouver une seule référence à cette grotte et aux ossements géants et nous avons écrit ce qui suit comme conclusion à ce document: « Le récit du 16ième siècle est auto explicatif. La grotte est maintenant en ruine, après avoir été pillée au cours des siècles de tous les anciens trésors qu’elle détenait autrefois. » C’était notre conviction que ce trésor de preuves géantes, incluant les ossements, ait été à jamais perdu pour l’histoire et l’expérience humaine.
Puis, comme le destin l’a voulu, nous avons reçu un courriel le 8 novembre 2007, qui débutait: « Vous avez écrit au sujet de la Caverne Breitenwinner en Bavière. Je viens juste de sortir de l’armée et j’étais stationné au Centre conjoint d’entraînements multinationaux, désormais connu sous le nom le Centre conjoint de préparation multinationale, un centre de formation de l’OTAN qui entoure désormais cette grotte. » L’individu poursuivait en disant: « Deux amis également stationnés ici, et moi-même, sommes accidentellement tombés sur cette grotte qui est située près de ce que nous appelons Checkpoint 35, ceux qui sont stationnés ici savent où c’est situé. Nous avions une caméra vidéo avec nous et avons trouvé des milliers d’ossements qui étaient de proportions énormes. » Nous avons visionné la vidéo, contacté immédiatement la personne faisant cette affirmation, établi sa crédibilité, et contacté nos sources médiatiques. En 24 heures, l’homme qui avait exploré la Caverne Breitenwinner a été interviewé sur une entrevue radiophonique importante.
Danny (nom de famille omis sur demande), est un ancien photographe de combat, avec plus de 7 ans de service. Il venait et ne semblait intéressé qu’à faire sortir l’histoire. Sa préoccupation était concentrée sur ce qu’il croyait être une parodie d’un site massif d’enfouissement passant inaperçu et traité avec absolument aucun respect. La grotte se trouve désormais dans une « zone de tir réel », utilisée pour les exercices d’entraînements de bombardements de l’OTAN. Danny, en fait, ne savait rien de l’histoire de la grotte Breitenwinner jusqu’à longtemps après qu’il ait exploré la grotte et ait fait des recherches à son sujet. Pour cette raison, il ne recherchait pas de preuves de géants quand il a exploré et pris une vidéo de cette exploration de la caverne.
Au moment d’écrire ces lignes, des anthropologues, des universités, des organisations non gouvernementales et des chercheurs dans le domaine se rassemblent pour tenter un examen officiel de la Grotte Breitenwinner. En cas de succès, une telle exploration pourrait faire sauter le couvercle de la dissimulation de ce paradigme étonnant et ajouter une nouvelle dimension à la réalité humaine. Les lecteurs qui suivent ce paradigme sont priés de communiquer avec toute personne qui pourrait aider à exposer ce phénomène. Les preuves de géants dans l’histoire du monde sont énormes et le temps est venu de révéler ce fait à toute la planète.

L’objectif de Satan pour sa production de géants

Par Finis Jennings Dake

C’était l’objectif de Satan et de ses anges déchus de corrompre la race humaine et ainsi en finir avec la lignée adamite pure par laquelle la semence de la femme devait venir. Ceci devait éviter leur propre destruction et rendre possible pour Satan et son royaume de garder le contrôle de la planète terre indéfiniment. Il a été révélé à Adam et Eve que la semence de la femme vaincrait Satan et restaurerait la domination de l’homme.

Genèse 3:15
« Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité : Celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon. »
Alors, le seul moyen pour Satan d’éviter cette défaite annoncée était de corrompre la lignée adamite pure de telle sorte que l’arrivée de la semence de la femme dans le monde devienne impossible. Il a tenté d’accomplir ceci en envoyant certains de ses anges déchus marier les filles des hommes comme dans ;

Genèse 6:1-4
« Lorsque les hommes eurent commencé à se multiplier sur la face de la terre, et que des filles leur furent nées, les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, et ils en prirent pour femmes parmi toutes celles qu’ils choisirent. Alors l’Éternel dit : Mon esprit ne restera pas à toujours dans l’homme, car l’homme n’est que chair, et ses jours seront de cent vingt ans. Les géants étaient sur la terre en ces temps-là, après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu’elles leur eurent donné des enfants : Ce sont ces héros qui furent fameux dans l’antiquité. »

. . . Et afin de produire des nations de géants à travers eux.

Il y a deux éruptions d’anges déchus qui sont enseignées dans Genèse 6:4 : Les géants étaient sur la terre en ces jours (avant le déluge), et aussi après cela (après le déluge), lorsque le fils de Dieu (anges déchus) vinrent vers les filles des hommes (toutes les filles des hommes, Caïn, Seth et les autres), et elles leur eurent donné des enfants (aux anges).

Satan a presque réussi son plan au cours de la première éruption, car toute chair s’était corrompue sur la terre ; Et, de tous les multitudes, Noé et ses fils était la seule lignée pure adamite qui devait être conservée par l’arche.

Genèse 6:8-13
« Mais Noé trouva grâce aux yeux de l’Éternel. Voici la postérité de Noé. Noé tait un homme juste, et intègre, dans son temps ; Noé marchait avec Dieu. Noé engendra trois fils : Sem, Cham et Japhet. La terre était corrompue devant Dieu, la terre était pleine de violence. Dieu regarda la terre, et voici, elle était corrompue ; Car toute chair avait corrompu sa voie sur la terre. Alors Dieu dit à Noé : La fin de toute chair est arrêtée par devers moi ; Car ils ont rempli la terre de violence ; Voici, je vais les détruire avec la terre. »

1 Pierre 3:19-20
« …dans lequel aussi il est allé prêcher aux esprits en prison, qui autrefois avaient été incrédules, lorsque la patience de Dieu se prolongeait, aux jours de Noé, pendant la construction de l’arche, dans laquelle un petit nombre de personnes, c’est-à-dire, huit, furent sauvées à travers l’eau. »

L’objectif principal du déluge était d’en finir avec toute cette corruption satanique, de détruire les géants, et de préserver la lignée adamite pure afin d’assurer la garantie de l’arrivée de la semence de la femme, comme dans le plan de Dieu.

Être vaincu avant le déluge n’a pas empêché Satan de faire une nouvelle tentative pour empêcher la venue du Rédempteur, ce qui devrait être sa chute finale. C’était maintenant à son avantage que Dieu ait promis de ne plus jamais envoyer un autre déluge universel sur la terre. Ainsi, Satan était très motivé pour faire une deuxième tentative afin d’en finir avec la lignée adamite. S’il était arrivé à “huit âmes” de réussir avant le déluge, ses possibilités étaient maintenant encore plus grandes, avec la promesse qu’il n’y aurait plus de déluge semblable. C’est la raison pour avoir envoyé le deuxième groupe d’anges déchus épouser les filles des hommes. Encore une fois, les mariages ont produit des géants et certaines races d’entre elles occupaient même la terre promise, où la semence devait naître, à l’avance d’Abraham. Limité par sa promesse de ne plus envoyer de déluges, Dieu a ensuite été confronté avec le problème de la destruction des races de géants d’une autre manière. C’est ce qui explique la raison pour laquelle Dieu a ordonné à Israël de tuer chacun d’entre eux, même jusqu’au dernier homme, à la dernière femme et au dernier enfant. Cela explique encore une fois pourquoi Il a détruit tous les hommes, femmes et enfants à l’exception de Noé et de sa famille, au moment du déluge. Ceci répond également à la question des sceptiques, à savoir pourquoi les enfants devaient être détruits avec les adultes dans le déluge. Dieu devait en finir avec toute cette corruption totalement afin d’accomplir son dessein éternel et donner au monde son Rédempteur promis. Le Rédempteur est maintenant venu, et ainsi, Satan doit réserver ses forces pour une dernière bataille au moment de la seconde venue du Christ.

Ainsi, il est donc clair à partir des Ecritures qu’il y avait des géants sur la terre à la fois avant et après le déluge, et qu’ils provenaient d’une union entre les anges déchus et les filles des hommes.

voir les premières vidéos de la série le gouvernement mondiale arrive

Antivax toi-même !?




Fondation Hippocrate
Primum non nocere

Chers lecteurs,
Après l’excellent documentaire “Des vaccins et des hommes” réalisé par Anne Georget et diffusé sur Arte, je souhaite vous parler du dernier livre de Xavier Bazin : Antivax toi-même ! Retrouvons un esprit critique sur la vaccination. L’intérêt de cet ouvrage réside dans la vision objective et rigoureuse qu’il propose de la vaccination en général, et pas seulement celle contre la Covid-19. (1)
En clair, si les populations, les médecins, et les experts ont, dans leur grande majorité, accepté si vite et sans hésiter, ce nouveau vaccin expérimental qui n’a, pour l’heure, toujours pas fait la preuve d’une balance bénéfice/risque favorable, cela est dû à un long conditionnement. Xavier Bazin prend le temps de décrypter les mythes autour de la vaccination qui ont transformé un outil perfectible en une sorte baguette magique.
Le livre qu’il propose est donc ambitieux. Il vous invite à sortir du monde magique et merveilleux de la vaccination telle que l’on nous l’a vendu pour entrer dans celui de la raison et des données vérifiées. Bref, Xavier Bazin propose de rattacher le champ vaccinal au champ scientifique, dont l’industrie pharmaceutique l’avait sorti à son profit.
La vaccination est fondée sur des récits mythologiques
Le livre propose au lecteur un retour rapide sur l’histoire des maladies infectieuses. L’auteur rappelle que la gale, la lèpre, la peste ou la scarlatine ont disparu en Europe et en Amérique sans vaccination. De même, la fièvre typhoïde et le choléra ont disparu sans qu’il y ait eu de vaccination de masse. Si l’on y regarde de plus près, même les maladies infectieuses que l’on imagine avoir été détruites par la vaccination, ont, en réalité, été vaincues par d’autres moyens. C’est le cas de la tuberculose dont le vaccin n’est plus obligatoire depuis qu’on a constaté sa faible efficacité.
Le cas de la variole est symptomatique. Cette maladie est souvent citée – y compris par les médecins – comme ayant été éradiquée par des campagnes de vaccination. Ce n’est pas ce que dit le rapport de l’OMS de 1980 sur le sujet. Ce document précise que les campagnes de vaccination contre la variole ont échoué dans la plupart des cas.
D’après l’un des cadres de l’OMS, c’est la stratégie de “surveillance-endiguement” qui a permis de lutter efficacement contre cette maladie. Ainsi, les campagnes massives de vaccination contre la variole ont été abandonnées au profit d’une approche plus précise. On a isolé les individus touchés et leur famille.
La conclusion reste claire et tout-à-fait officielle : la vaccination n’a pas éradiqué la variole. Si vous preniez le temps d’expliquer cela à votre médecin, documents à l’appui, il ne vous croirait pas.
Même les maladies que l’on croit connaître intimement sont concernées !
L’exemple de la rougeole et de la coqueluche, des maladies contre lesquelles on vaccine les enfants depuis trois générations, est marquant. Les données concernant l’Angleterre et le Pays de Galles sont rapportées dans le livre. On note sur les graphiques que la mortalité liée à ces deux maladies a commencé à décroître dès la fin du XIXe siècle.
En 1920, la mortalité a été divisée par trois par rapport à 1850 pour la coqueluche comme pour la rougeole. La chute vertigineuse se poursuit et dès 1950, la mortalité disparaît quasiment. Elle est proche de 0 et le restera. Sauf que la vaccination contre la coqueluche a été introduite en 1952 et celle contre la rougeole en 1968. La vaccination n’a pas eu d’effet sur le recul de la mortalité liée à ces maladies.
On peut simplement supposer qu’elle a contribué à stabiliser ce taux de mortalité très bas. Ce passage du livre s’achève sur une citation d’une étude publiée dans le Journal of Epidemiology and Community Health . Je vous la reproduis intégralement :
“La coqueluche s’est comportée comme la rougeole et de manière similaire à la scarlatine et à la diphtérie, pour chacune desquelles 80% de la baisse totale de mortalité au Royaume-Uni s’est produite avant qu’un vaccin ou des médicaments antimicrobiens ne soient disponibles, et 90% ou plus avant qu’il y ait un programme national de vaccination.” (2)
Quelles sont donc les causes réelles du recul des maladies infectieuses dans ce cas ? L’auteur explique que, pour l’essentiel, l’amélioration des conditions de vie, de la qualité de l’air, de l’eau, du logement et de l’alimentation ont permis de faire reculer la mortalité liée aux maladies infectieuses. La vaccination et les médicaments sont venus plus tard, quand la bataille était déjà gagnée !
D’autres mythes sont passés en revue comme l’aspect altruiste des vaccins (si ça ne nous protège pas réellement, ça protège les autres en réduisant le risque de contagiosité) qui est loin d’être démontré ou encore leur sécurité qui est, elle-aussi, sujette à discussion. Il existe, en effet, de nombreuses failles dans l’élaboration des vaccins et la façon dont les autorités de contrôle les supervisent. Cependant le sujet est rarement abordé.
C’est le mérite d’Antivax toi-même ! que d’analyser chaque mythe l’un après l’autre, ce qui permet de replacer la vaccination à sa juste place. On découvre, par exemple, que les enfants vaccinés ne sont pas forcément en meilleure santé que ceux qui ne le seraient pas.
Le système immunitaire est encore mal connu
Xavier Bazin souligne, pour ceux qui l’auraient oublié, que l’immunité est un système complexe que l’on commence tout juste à comprendre. Voilà pourquoi, encore aujourd’hui, de nombreuses questions autour des vaccins restent incertaines. Ainsi, on ne sait pas quels sont les risques individuels liés aux vaccins et on ne sait pas quels liens pourraient exister entre les maladies auto-immunes et la vaccination.
Toutes ces incertitudes devraient pousser les autorités de santé et les pédiatres à être plus prudents avec la vaccination. Les systèmes de pharmacovigilance devraient être renforcés. Toutefois, ce n’est pas le cas. Pourquoi ?
Comment l’industrie pharmaceutique et les pouvoirs publics travaillent main dans la main pour imposer des politiques sanitaires planétaires
La suite du livre Antivax toi-même ! répond à cette question. Contrairement à d’autres pans de la médecine ou des sciences, la vaccination n’a pu s’imposer que par l’intervention massive et permanente des autorités publiques. Ce n’est, du reste, pas une surprise puisqu’il s’agit en principe d’un outil de prévention. Par définition, démontrer qu’un risque va ou ne va pas se produire est très difficile.
Pour imposer la vaccination aux populations, il a donc fallu que les États utilisent toutes les prérogatives de la puissance publique à leur disposition. Les politiques vaccinales se sont construites grâce à un maillage institutionnel toujours plus étroit entre l’industrie pharmaceutique, les États, leurs administrations sanitaires et l’OMS. (3)
C’est ainsi, par exemple, qu’aux États-Unis, l’industrie pharmaceutique a réussi à sortir la vaccination et ses effets secondaires du système judiciaire américain classique. Il existe une administration spéciale pour ces effets secondaires, dont le rôle est d’étudier les demandes de compensation et de les honorer lorsqu’un effet secondaire a été reconnu. (4, 5)
En 2020, plus de 250 millions de dollars ont été versés aux victimes. Elles sont dédommagées par un fond nourri par l’industrie pharmaceutique. Pour chaque vaccin acheté, une petite commission va vers ce fond. L’industrie pharmaceutique paye à l’avance pour ses victimes. Ce système lui permet d’éviter le discrédit lié aux procès surmédiatisés ainsi que les aléas de la procédure judiciaire. Les victimes sont indemnisées rapidement et s’en tiennent là. (4, 5)
Cette bonne entente entre l’administration et l’industrie pharmaceutique se retrouve à tous les niveaux. Les carrières des médecins de l’industrie pharmaceutique sont souvent jalonnées de missions de service public. Les conflits d’intérêts qui existent entre l’OMS, les administrations sanitaires, les revues scientifiques et l’industrie pharmaceutique sont nombreux. (1)
Même les institutions au plus haut niveau sont concernées
Xavier Bazin a pris la peine de les décrypter pour les rendre intelligibles au plus grand public. Par exemple, il explique pourquoi les administrations de santé sont parfois incitées à ne pas dire la vérité. Il faut savoir que, lorsque la FDA américaine, l’agence qui autorise la mise sur le marché des vaccins et des médicaments, valide le vaccin anti-Covid de Pfizer, elle le fait uniquement en se fondant sur les informations fournies par le fabricant et sans jamais faire revérifier les chiffres par des chercheurs indépendants.
Ces données n’ont cependant pas été rendues publiques. Il a fallu qu’une association porte plainte et qu’un juge ordonne à la FDA d’ouvrir ses dossiers, pour que ces données deviennent accessibles. La FDA a alors accepté l’aide de Pfizer pour masquer certains passages du rapport sous couvert de secret industriel. C’est ce que l’on appelle des relations dangereuses entre l’industrie pharmaceutique et l’administration. Malheureusement, cet exemple n’est qu’un fait scandaleux de plus sur une longue liste…
De même, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) qui fait office de référence dans son domaine depuis la 2e Guerre mondiale est en réalité un organisme sous influence qui dépend davantage de financiers privés que des États. Ainsi la Fondation Bill Gates en est devenue le plus gros donateur et l’OMS en dépend beaucoup. Or cette fondation est elle-même financée par les dividendes des actions qu’elle détient… dans l’industrie pharmaceutique ! C’est ce qu’on appelle un conflit d’intérêts majeur.
Bill Gates, depuis des années, s’est mis en tête qu’il fallait vacciner tout le monde, partout, à peu près tout le temps, pour à près tous les agents infectieux qui se présentent. On peut parler de lubie de milliardaire, de dérive fondamentaliste, de volonté de contrôle des populations, etc. qu’importe. Le vrai problème, est que l’OMS héberge dans ses propres locaux des salariés de cette fondation et que le directeur de l’OMS est lui-même un ancien cadre de la Fondation Bill et Melinda Gates. Qui contrôle qui ? Un organisme international réunissant des États n’a pas à être détenu en tout ou partie par une organisation privée.
Cette situation improbable est le fruit d’une longue construction et d’une stratégie assumée et annoncée par le milliardaire. Les deux instruments de l’influence de la Fondation Gates sur l’OMS sont les programmes GAVI et ID2020. Il s’agit de partenariats public/privé comme l’on dit pudiquement, c’est-à-dire des ententes par lesquelles les pouvoirs publics soumettent leurs prérogatives et leur crédibilité à des entreprises privées, qui en échange financent le tout.
Sur le papier, ce type de coopération paraît astucieux. Néanmoins, le temps a montré qu’in fine, c’était une manière de remettre le bien public entre les mains de quelques milliardaires non élus qui en font ce qu’ils veulent. C’est ainsi qu’en utilisant GAVI, ID2020 et puis finalement l’OMS elle-même, Bill Gates, qui n’est ni élu, ni médecin, a fini par exercer une influence exorbitante sur les politiques sanitaires mondiales qui devraient être du ressort des États souverains et de leurs peuples.
Les éditeurs scientifiques tirent la sonnette d’alarme !
Les revues scientifiques elles-mêmes se trouvent aujourd’hui montrées du doigt. Déjà en 2009, une rédactrice scientifique, le Dr Marcia Angell, criait son désarroi. Elle affirmait :
“Il n’est simplement plus possible de croire une grande partie de la recherche clinique qui est publiée. Je suis désolée de cette conclusion, à laquelle je suis parvenue lentement et à contrecœur au cours des deux décennies que j’ai passées à la rédaction du New England Journal of Medicine.”
Antivax toi-même ! est un livre important pour comprendre la situation, parce qu’il permet de relire avec du recul l’histoire contemporaine de la vaccination. Les faits et les données mis en avant méritent d’être connus de tous.
Cet ouvrage donnera des arguments simples et clairs à ceux qui doutent encore qu’il est grand temps de réformer en profondeur le système médical mondial en commençant par remettre chacun à sa juste place. Le patient, vacciné ou non, mérite d’être au cœur de toutes les attentions.
Il est temps de revenir à des politiques sanitaires et vaccinales soucieuses des citoyens, à plus forte raison lorsqu’ils sont en bonne santé, ce qui est encore le cas pour nombre de non vaccinés !
Affaire à suivre ! toi-même ! Retrouvons un esprit critique sur la vaccination. L’intérêt de cet ouvrage réside dans la vision objective et rigoureuse qu’il propose de la vaccination en général, et pas seulement celle contre la Covid-19. (1)En clair, si les populations, les médecins, et les experts ont, dans leur grande majorité, accepté si vite et sans hésiter, ce nouveau vaccin expérimental qui n’a, pour l’heure, toujours pas fait la preuve d’une balance bénéfice/risque favorable, cela est dû à un long conditionnement. Xavier Bazin prend le temps de décrypter les mythes autour de la vaccination qui ont transformé un outil perfectible en une sorte baguette magique.Le livre qu’il propose est donc ambitieux. Il vous invite à sortir du monde magique et merveilleux de la vaccination telle que l’on nous l’a vendu pour entrer dans celui de la raison et des données vérifiées. Bref, Xavier Bazin propose de rattacher le champ vaccinal au champ scientifique, dont l’industrie pharmaceutique l’avait sorti à son profit.La vaccination est fondée sur des récits mythologiquesLe livre propose au lecteur un retour rapide sur l’histoire des maladies infectieuses. L’auteur rappelle que la gale, la lèpre, la peste ou la scarlatine ont disparu en Europe et en Amérique sans vaccination. De même, la fièvre typhoïde et le choléra ont disparu sans qu’il y ait eu de vaccination de masse. Si l’on y regarde de plus près, même les maladies infectieuses que l’on imagine avoir été détruites par la vaccination, ont, en réalité, été vaincues par d’autres moyens. C’est le cas de la tuberculose dont le vaccin n’est plus obligatoire depuis qu’on a constaté sa faible efficacité.Le cas de la variole est symptomatique. Cette maladie est souvent citée – y compris par les médecins – comme ayant été éradiquée par des campagnes de vaccination. Ce n’est pas ce que dit le rapport de l’OMS de 1980 sur le sujet. Ce document précise que les campagnes de vaccination contre la variole ont échoué dans la plupart des cas.D’après l’un des cadres de l’OMS, c’est la stratégie de “surveillance-endiguement” qui a permis de lutter efficacement contre cette maladie. Ainsi, les campagnes massives de vaccination contre la variole ont été abandonnées au profit d’une approche plus précise. On a isolé les individus touchés et leur famille.La conclusion reste claire et tout-à-fait officielle : la vaccination n’a pas éradiqué la variole. Si vous preniez le temps d’expliquer cela à votre médecin, documents à l’appui, il ne vous croirait pas.Même les maladies que l’on croit connaître intimement sont concernées !L’exemple de la rougeole et de la coqueluche, des maladies contre lesquelles on vaccine les enfants depuis trois générations, est marquant. Les données concernant l’Angleterre et le Pays de Galles sont rapportées dans le livre. On note sur les graphiques que la mortalité liée à ces deux maladies a commencé à décroître dès la fin du XIXe siècle.En 1920, la mortalité a été divisée par trois par rapport à 1850 pour la coqueluche comme pour la rougeole. La chute vertigineuse se poursuit et dès 1950, la mortalité disparaît quasiment. Elle est proche de 0 et le restera. Sauf que la vaccination contre la coqueluche a été introduite en 1952 et celle contre la rougeole en 1968. La vaccination n’a pas eu d’effet sur le recul de la mortalité liée à ces maladies.On peut simplement supposer qu’elle a contribué à stabiliser ce taux de mortalité très bas. Ce passage du livre s’achève sur une citation d’une étude publiée dans le Journal of Epidemiology and Community Health . Je vous la reproduis intégralement :“La coqueluche s’est comportée comme la rougeole et de manière similaire à la scarlatine et à la diphtérie, pour chacune desquelles 80% de la baisse totale de mortalité au Royaume-Uni s’est produite avant qu’un vaccin ou des médicaments antimicrobiens ne soient disponibles, et 90% ou plus avant qu’il y ait un programme national de vaccination.” (2)Quelles sont donc les causes réelles du recul des maladies infectieuses dans ce cas ? L’auteur explique que, pour l’essentiel, l’amélioration des conditions de vie, de la qualité de l’air, de l’eau, du logement et de l’alimentation ont permis de faire reculer la mortalité liée aux maladies infectieuses. La vaccination et les médicaments sont venus plus tard, quand la bataille était déjà gagnée !D’autres mythes sont passés en revue comme l’aspect altruiste des vaccins (si ça ne nous protège pas réellement, ça protège les autres en réduisant le risque de contagiosité) qui est loin d’être démontré ou encore leur sécurité qui est, elle-aussi, sujette à discussion. Il existe, en effet, de nombreuses failles dans l’élaboration des vaccins et la façon dont les autorités de contrôle les supervisent. Cependant le sujet est rarement abordé.C’est le mérite d’Antivax toi-même ! que d’analyser chaque mythe l’un après l’autre, ce qui permet de replacer la vaccination à sa juste place. On découvre, par exemple, que les enfants vaccinés ne sont pas forcément en meilleure santé que ceux qui ne le seraient pas.Le système immunitaire est encore mal connuXavier Bazin souligne, pour ceux qui l’auraient oublié, que l’immunité est un système complexe que l’on commence tout juste à comprendre. Voilà pourquoi, encore aujourd’hui, de nombreuses questions autour des vaccins restent incertaines. Ainsi, on ne sait pas quels sont les risques individuels liés aux vaccins et on ne sait pas quels liens pourraient exister entre les maladies auto-immunes et la vaccination.Toutes ces incertitudes devraient pousser les autorités de santé et les pédiatres à être plus prudents avec la vaccination. Les systèmes de pharmacovigilance devraient être renforcés. Toutefois, ce n’est pas le cas. Pourquoi ?Comment l’industrie pharmaceutique et les pouvoirs publics travaillent main dans la main pour imposer des politiques sanitaires planétairesLa suite du livre Antivax toi-même ! répond à cette question. Contrairement à d’autres pans de la médecine ou des sciences, la vaccination n’a pu s’imposer que par l’intervention massive et permanente des autorités publiques. Ce n’est, du reste, pas une surprise puisqu’il s’agit en principe d’un outil de prévention. Par définition, démontrer qu’un risque va ou ne va pas se produire est très difficile.Pour imposer la vaccination aux populations, il a donc fallu que les États utilisent toutes les prérogatives de la puissance publique à leur disposition. Les politiques vaccinales se sont construites grâce à un maillage institutionnel toujours plus étroit entre l’industrie pharmaceutique, les États, leurs administrations sanitaires et l’OMS. (3)C’est ainsi, par exemple, qu’aux États-Unis, l’industrie pharmaceutique a réussi à sortir la vaccination et ses effets secondaires du système judiciaire américain classique. Il existe une administration spéciale pour ces effets secondaires, dont le rôle est d’étudier les demandes de compensation et de les honorer lorsqu’un effet secondaire a été reconnu. (4, 5)En 2020, plus de 250 millions de dollars ont été versés aux victimes. Elles sont dédommagées par un fond nourri par l’industrie pharmaceutique. Pour chaque vaccin acheté, une petite commission va vers ce fond. L’industrie pharmaceutique paye à l’avance pour ses victimes. Ce système lui permet d’éviter le discrédit lié aux procès surmédiatisés ainsi que les aléas de la procédure judiciaire. Les victimes sont indemnisées rapidement et s’en tiennent là. (4, 5)Cette bonne entente entre l’administration et l’industrie pharmaceutique se retrouve à tous les niveaux. Les carrières des médecins de l’industrie pharmaceutique sont souvent jalonnées de missions de service public. Les conflits d’intérêts qui existent entre l’OMS, les administrations sanitaires, les revues scientifiques et l’industrie pharmaceutique sont nombreux. (1)Même les institutions au plus haut niveau sont concernéesXavier Bazin a pris la peine de les décrypter pour les rendre intelligibles au plus grand public. Par exemple, il explique pourquoi les administrations de santé sont parfois incitées à ne pas dire la vérité. Il faut savoir que, lorsque la FDA américaine, l’agence qui autorise la mise sur le marché des vaccins et des médicaments, valide le vaccin anti-Covid de Pfizer, elle le fait uniquement en se fondant sur les informations fournies par le fabricant et sans jamais faire revérifier les chiffres par des chercheurs indépendants.Ces données n’ont cependant pas été rendues publiques. Il a fallu qu’une association porte plainte et qu’un juge ordonne à la FDA d’ouvrir ses dossiers, pour que ces données deviennent accessibles. La FDA a alors accepté l’aide de Pfizer pour masquer certains passages du rapport sous couvert de secret industriel. C’est ce que l’on appelle des relations dangereuses entre l’industrie pharmaceutique et l’administration. Malheureusement, cet exemple n’est qu’un fait scandaleux de plus sur une longue liste…De même, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) qui fait office de référence dans son domaine depuis la 2e Guerre mondiale est en réalité un organisme sous influence qui dépend davantage de financiers privés que des États. Ainsi la Fondation Bill Gates en est devenue le plus gros donateur et l’OMS en dépend beaucoup. Or cette fondation est elle-même financée par les dividendes des actions qu’elle détient… dans l’industrie pharmaceutique ! C’est ce qu’on appelle un conflit d’intérêts majeur.Bill Gates, depuis des années, s’est mis en tête qu’il fallait vacciner tout le monde, partout, à peu près tout le temps, pour à près tous les agents infectieux qui se présentent. On peut parler de lubie de milliardaire, de dérive fondamentaliste, de volonté de contrôle des populations, etc. qu’importe. Le vrai problème, est que l’OMS héberge dans ses propres locaux des salariés de cette fondation et que le directeur de l’OMS est lui-même un ancien cadre de la Fondation Bill et Melinda Gates. Qui contrôle qui ? Un organisme international réunissant des États n’a pas à être détenu en tout ou partie par une organisation privée.Cette situation improbable est le fruit d’une longue construction et d’une stratégie assumée et annoncée par le milliardaire. Les deux instruments de l’influence de la Fondation Gates sur l’OMS sont les programmes GAVI et ID2020. Il s’agit de partenariats public/privé comme l’on dit pudiquement, c’est-à-dire des ententes par lesquelles les pouvoirs publics soumettent leurs prérogatives et leur crédibilité à des entreprises privées, qui en échange financent le tout.Sur le papier, ce type de coopération paraît astucieux. Néanmoins, le temps a montré qu’in fine, c’était une manière de remettre le bien public entre les mains de quelques milliardaires non élus qui en font ce qu’ils veulent. C’est ainsi qu’en utilisant GAVI, ID2020 et puis finalement l’OMS elle-même, Bill Gates, qui n’est ni élu, ni médecin, a fini par exercer une influence exorbitante sur les politiques sanitaires mondiales qui devraient être du ressort des États souverains et de leurs peuples.Les éditeurs scientifiques tirent la sonnette d’alarme !Les revues scientifiques elles-mêmes se trouvent aujourd’hui montrées du doigt. Déjà en 2009, une rédactrice scientifique, le Dr Marcia Angell, criait son désarroi. Elle affirmait :“Il n’est simplement plus possible de croire une grande partie de la recherche clinique qui est publiée. Je suis désolée de cette conclusion, à laquelle je suis parvenue lentement et à contrecœur au cours des deux décennies que j’ai passées à la rédaction du New England Journal of Medicine.”Antivax toi-même ! est un livre important pour comprendre la situation, parce qu’il permet de relire avec du recul l’histoire contemporaine de la vaccination. Les faits et les données mis en avant méritent d’être connus de tous.Cet ouvrage donnera des arguments simples et clairs à ceux qui doutent encore qu’il est grand temps de réformer en profondeur le système médical mondial en commençant par remettre chacun à sa juste place. Le patient, vacciné ou non, mérite d’être au cœur de toutes les attentions.Il est temps de revenir à des politiques sanitaires et vaccinales soucieuses des citoyens, à plus forte raison lorsqu’ils sont en bonne santé, ce qui est encore le cas pour nombre de non vaccinés !Affaire à suivre !

Baptême de ZORITSA


samedi 14 janvier 2023

3. Ne savez-vous pas que nous tous qui avons été baptisés en Jésus-Christ, nous avons été baptisés en sa mort?
4. Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême en sa mort, afin que, comme Christ est ressuscité des morts par la gloire du Père, de même nous marchions, nous aussi, dans une vie nouvelle.
(Romains, 6)

11. En lui aussi vous avez été circoncis, d`une circoncision faite sans main, en dépouillant le corps des péchés de la chair, ce qui est la circoncision de Christ;
12. Ayant été ensevelis avec lui par le baptême; en lui aussi vous êtes ressuscités, par la foi en la puissance de Dieu, qui l`a ressuscité des morts.
13. Et quand vous étiez morts dans vos péchés et dans votre incirconcision charnelle, il vous a vivifiés avec lui, vous ayant pardonné toutes vos fautes.
14. Il a effacé ce qui était contre nous, l`obligation des ordonnances qui s`élevait contre nous; et il l`a entièrement annulée, en l`attachant à la croix;
15. Ayant dépouillé les principautés et les puissances, qu`il a publiquement exposées en spectacle, en triomphant d`elles sur cette croix.
(Colossiens, 2)

17. Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent par lui.
18. Et c`est lui qui est la tête du corps de l`Église; il est le commencement, le premier-né d`entre les morts, afin qu`il tienne le premier rang en toutes choses.
19. Car il a plu à Dieu de faire habiter toute plénitude en lui;
20. Et de réconcilier par lui toutes choses avec soi, ayant donné la paix, par le sang de sa croix, tant aux choses qui sont sur la terre qu`à celles qui sont dans les cieux.
21. Vous aussi, qui étiez autrefois éloignés, et ennemis par vos pensées et vos mauvaises œuvres,
22. Il vous a maintenant réconciliés, dans le corps de sa chair, par sa mort, pour vous présenter devant lui saints, sans tache et irrépréhensibles;
23. Pourvu que vous demeuriez fondés dans la foi et inébranlables, n`abandonnant point l`espérance de l`Évangile que vous avez entendu, qui a été prêché à toute créature sous le ciel, et dont moi, Paul, j`ai été fait ministre.
(Colossiens, 1)

9. Et ce que je demande, c`est que votre charité augmente de plus en plus en connaissance et en toute intelligence;
10. Pour discerner la différence des choses, afin que vous soyez purs et irréprochables pour le jour de Christ,
11. Étant remplis par Jésus-Christ des fruits de la justice, à la gloire et à la louange de Dieu.
(Philippiens, 1)

8. Bien plus, je regarde toutes choses comme une perte, en comparaison de l`excellence de la connaissance de Jésus-Christ mon Seigneur, pour qui j`ai perdu toutes choses, et je les regarde comme des ordures, afin que je gagne Christ,
9. Et que je sois trouvé en lui, ayant, non point ma justice, celle qui vient de la loi, mais celle qui s`obtient par la foi en Christ, la justice de Dieu par la foi;
10. Afin que je connaisse Christ, et l`efficace de sa résurrection, et la communion de ses souffrances, en devenant conforme à lui dans sa mort;
11. Pour parvenir, si je puis, à la résurrection des morts.
12. Non que j`aie déjà atteint le but, ou que je sois déjà parvenu à la perfection, mais je cours avec ardeur pour saisir le prix; c`est pour cela aussi que j`ai été saisi par Jésus-Christ.
(Philippiens, 3)

8. Que dit-elle donc? La parole est près de toi, dans ta bouche et dans ton cœur. Voilà la parole de la foi que nous prêchons.
9. Elle dit que si tu confesses de ta bouche que Jésus est le Seigneur, et que tu croies dans ton cœur que Dieu l`a ressuscité des morts, tu seras sauvé.
10. Car on croit du cœur, pour obtenir la justice, et l`on fait confession de la bouche pour le salut.
11. En effet, l`Écriture dit: Quiconque croit en lui, ne sera point confus.
(Romains, 10)

Accepterez-vous la marque de la bête?


un petit tour ici sur mon autre blog pour visionner:

https://larealitecacheedumondeactuel.com/2022/12/31/accepterez-vous-la-marque-de-la-bete/